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Crise : les économistes «atterrés» se rassemblent le 9 octobre
30/09/2010 23:04
http://www.gaullisme.fr/?p=9708
Les économistes français sont de plus en plus nombreux à se dire «atterrés» : plus de trois ans après l’éclatement de la bulle des subprime, les politiques à l’origine de la crise sont toujours à l’œuvre. Un manifeste d’économistes atterrés , lancé le 1er septembre par quatre économistes de haut vol, a d’ores et déjà recueilli plus de 600 signatures, des universitaires pour la très grande majorité, dont Mediapart publie la liste en exclusivité.
C’est tout un pan de la discipline économique qui s’élève ainsi contre les politiques d’austérité aujourd’hui menées en Europe, mais aussi contre l’insuffisance des mesures prises au G-20 et à Bruxelles pour en finir avec «une forme de dictature des marchés».
A l’origine du manifeste, Philippe Askenazy, de l’Ecole d’économie de Paris, Thomas Coutrot, co-président de l’association Attac, André Orléan, directeur de recherche au CNRS, et Henri Sterdyniak, de l’OFCE, ont vite été rejoints par d’autres pointures du milieu académique, pour dénoncer ensemble le «logiciel néolibéral» toujours en vigueur dans l’Union.
Parmi les signataires figurent des tenants de la théorie de la régulation (Robert Boyer, Bruno Amable), des penseurs du «bien-être» (Jean Gadrey, Alain Caillé, Marc Fleurbaye ou encore la sociologue Dominique Méda) et des spécialistes des relations Nord-Sud (Denis Cogneau, Pierre Salama). Mais aussi Frédéric Lordon (CNRS), Jacques Sapir (EHESS), Xavier Timbeau et Eric Heyer (OFCE), Michel Husson (INRES), Laurent Cordonnier (Lille-1), Gabriel Colletis (Toulouse 1) ou encore Michel Devoluy (Strasbourg).
«Le logiciel néolibéral est toujours le seul reconnu comme légitime, malgré ses échecs patents», lit-on dans le manifeste. «Fondé sur l’hypothèse d’efficience des marchés financiers, il prône de réduire les dépenses publiques, de privatiser les services publics, de flexibiliser le marché du travail (…) En tant qu’économistes, nous sommes atterrés de voir que ces politiques sont toujours à l’ordre du jour.»
Un colloque à Paris
Pour ces hétérodoxes, l’austérité mise en place en Europe, en réaction à la crise grecque, menace jusqu’à l’avenir de l’Union européenne. «L’économie y est censée être au service de la construction d’un continent démocratique, pacifié et uni. Au lieu de cela, une forme de dictature des marchés s’impose partout, et particulièrement au Portugal, en Espagne et en Grèce, trois pays qui étaient encore des dictatures au début des années 1970 (…)»
A un peu plus d’un an et demi de l’élection présidentielle, ce manifeste pourrait s’imposer comme un texte de référence dans le débat économique français. Il démonte dans le détail dix «fausses évidences» qui continuent d’inspirer les pouvoirs publics en Europe – l’idée, par exemple, que l’envolée de la dette des Etats résulte d’un excès de dépenses, ou encore cette autre idée selon laquelle la crise grecque a permis d’avancer vers un gouvernement économique européen.
Dans le même temps, le texte décline une vingtaine de contre-propositions (qui ne font pas toute l’unanimité parmi les signataires), soumises au débat. Exemples parmi beaucoup d’autres: accroître fortement l’imposition des très hauts revenus «pour décourager la course aux rendements insoutenables», réduire la dépendance des entreprises vis-à-vis des marchés financiers en développant une politique publique du crédit, ou encore contraindre les agences de notation à rendre publics leurs calculs économiques, lorsqu’elles décident de dégrader la note d’un Etat.
La prochaine étape aura lieu à Paris, samedi 9 octobre : un colloque ouvert au public sera organisé à Paris. Trois tables rondes sont prévues, sur la régulation financière, les politiques d’austérité, et la redéfinition d’un modèle économique européen. De quoi prendre le pouls d’une dynamique qu’il va falloir suivre de très près.
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NDA sur LCI
30/09/2010 22:41
Nicolas DUPONT-AIGNAN sera l’invité de Michel FIELD sur LCI à 18h30.
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La gestion comptable du budget de l’Etat
30/09/2010 14:35
Aucune vision d'ensemble
Pour être honnête, tout n'est pas complètement à jeter dans ce que fait le gouvernement. le rabotage des niches fiscales me semble plutôt une bonne chose puisque je crois qu'un impôt républicain n'est pas un gruyère et qu'il doit être le même pour tous en limitant au maximum les exemptions. En outre, si certaines suppressions de poste n'ont pas de sens vu le contexte (police, en partie dans l'enseignement), d'autres ne sont sans doute pas totalement injustifiées.
Mais, au global, les décisions du gouvernement souffrent de grandes limites. Tout d’abord, s’attaquer aux niches fiscales sans changer le bouclier fiscal revient à donner une prime aux personnes concernées par ce dispositif qui vont récupérer d’un côté ce qu’elles perdent de l’autre. Ensuite, il est difficile de ne pas voir dans ces décisions une simple gestion comptable des comptes de la nation, qui se contente d’additionner les économies de bout de chandelle.
Le règne de la corbeille
Bien sûr, réduire le train de vie de l’Etat n’est pas forcément un mal, mais là, le gouvernement fait peu d’effort pour différencier le niveau des économies selon les ministères. En outre, il y aurait sans doute besoin de revoir notre fiscalité en profondeur et il est dommage que le gouvernement ne s’attaque pas à une réforme d’ensemble plutôt que d’additionner les rustines. Malheureusement, il s’agit d’un défaut congénital de l’équipe au pouvoir depuis 2007.
Le point positif est que la France va protéger son statut auprès des marchés financiers. Car contrairement à ce que disent certains éditorialistes, la France bénéficie plutôt d’une bonne image. The Economist rapporte que nos emprunts d’Etat à dix ans rapportent 2.7%, soit plus que l’Allemagne (2.34) ou les Etats-Unis (2.54) mais moins que la Grande-Bretagne (3.07), l’Italie (3.87) ou l’Espagne (4.13). Et il faut noter que les pays anglo-saxons profitent d’une monétisation partielle de leur dette.
Comme pour beaucoup de dossiers, la gestion des finances publiques se fait à la petite semaine. Les économies ne sont pas toutes mauvaises mais il n’y aucune vision d’ensemble. Le gouvernement se fait balloter par les évènements sans vraiment prendre du recul sur ses décisions.
Laurent Pinsolle
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Conseil communautaire
30/09/2010 14:12
Un conseil communautaire aura lieu le jeudi 30 septembre en la salle Matisse de Noyelles Godault, 10 rue de Verdun, à 18H00.
Commentaire de Anthéa (01/10/2010 09:14) :
Je viens de lire le compte rendu du conseil municipal version AR sur leur
blog et j'en suis atterrer...
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Commentaire de Manéthon (01/10/2010 09:29) :
Ma chère Anthéa, ceci illustre que nous avons là, la création d'un
nouveau concept créé par l'AR : la Pravda version bisounours !
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Commentaire de Ceterum censeo Carthaginem esse delendam. (01/10/2010 09:41) :
Pourquoi être atterré ? N'est ce pas là le mode de fonctionnement
classique de toutes sectes ? Fussent - t' elles royalistes ou alliées
!
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Commentaire de civis pacem parabellum (01/10/2010 09:59) :
De républicain je ne vois point dans ce conseil qui est une insulte à la
République ! Peuple d'Hénin Beaumont, réveillez - vous !
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Commentaire de Plus un chien (01/10/2010 23:18) :
Eh oui, même les chiens vont quitter notre ville ! La VDN nous annonce que
le chenil, institution plus que vénérable dans notre ville, va quitter le
territoire pour Lens. Et voilà, tout fou le camp mon colonel !
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Conseil municipal du 29/9 : Bientôt la roche tarpéienne
30/09/2010 10:11
Encore un conseil municipal affligeant que celui d’hier. Un Maire sans envergure, sans panache, cédant aux coups de boutoir successifs d’un FN en verve. Quand à ces co-listiers, ils n’ont guère plus brillé. Une petite intervention d’un élu vert, sorti de son hypersomnie, espérance cantonale oblige, un vif échange entre l'adjointe à la culture et Marion Le Pen, de l’obséquiosité courtisane de la part d’un conseiller essayant de défendre désespérément un Maire indéfendable… N’oublions pas non plus l’étrange mutisme du 1er adjoint. Voilà, pour les personnages de cette farce qui n’amuse plus les Héninois(es) depuis longtemps. Et que penser de cette bourde du 1er magistrat, décidément pas très inspiré ce soir là, qui remet au vote une motion déjà vôté suite à une erreur de sa part. Que dire également de cette suspicion de mensonge qui plane sur lui concernant la pseudo – réunion d’une commission fantôme ! Bref, plus de 2 h 00 de calvaire pour l’édile et son équipe, décidément bien mal encadré. Un défaut de résistance qui aura presque fait perdre de vue les principaux sujets qui importaient réellement pour la vie de notre cité comme l’Eglise St Martin et sa réfection, l’avancement du dossier Tramway, le devenir du Cèdre bleu, le 30ème anniversaire de notre médiathèque… Pour faire court, encore une journée de perdue pour le devenir de notre cité. A-t’elle vraiment mérité cela ?
Le comité local DLR
Commentaire de Caton l\'ancien (30/09/2010 15:34) :
Je m'étonne de la réaction de Mr Gigney et surtout de son argument. Il
invoque le respect du 1er magistrat mais il oublie que son mouvement était
dans le passé en opposition à Gérard Dalongeville et il ne le ménageait
pas. Je ne suis pas pro - Dalongevillien, loin de là, mais je n'ai pas
souvenir que l'AR et ses membre est respecté jadis sa fonction.
Qu'il ne s'étonne pas aujourd'hui d'être traité de la
même manière !
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